NE LE DITES JAMAIS - NEVER SAY GOODBYE VOSTFR 1946
Une exclusivité signée Alain.
Mot de passe: 42lcdc69
CHANSON à traduire s'il vous plaît
Un film méconnu et vraiment très drôle (j'ai pris des crises de fou rire en mitonnant le SRT) et bourré de références cinématographiques : Robin des Bois, Gentleman Jim, Mr. & Mrs. SMITH, les Marx Brothers, Bogart (qui prête sa voix) et sans doute d'autres.
La critique de Julien Léonard de TVCLASSIK
Ce film est une totale surprise, en tout cas pour les fans d’Errol Flynn. On savait bien que ce dernier était également un acteur de comédie très doué (le très bon "Four's a Crowd", le mi-policier mi-comédie "Footsteps in the Dark"...), mais à ce point-là... Avec un peu d’effort, il aurait pu être l'égal des acteurs spécialisés en comédie de l'époque (Cary Grant, William Powell...) s'il avait continué dans cette voie. Décidément, l'acteur touche à tout avec un sens inné de la justesse de ton. On pensait vraiment l'avoir vu se lâcher dans "Four's a Crowd" de Michael Curtiz (et franchement il y était excellent, osant des choses inattendues), mais la comédie où il donne tout, c'est bien "Never Say Goodbye". Le film de Curtiz est certes techniquement plus abouti, plus élégant et légèrement mieux écrit, mais le film de James V. Kern, obscur réalisateur sans réel talent, est incontestablement plus drôle encore. Ainsi, les situations grotesques s’enchaînent-elles avec maestria, faisant monter la sauce toutes les cinq minutes. Il n'est rien que n'ose essayer Flynn, pas même de se déguiser en Père Noël et de se faire poursuivre par un autre Père Noël dans toute la maison ! Avec un tel recul sur lui-même, la star peut se permettre n'importe quoi, et force est d'avouer que le réalisateur ne lui épargne rien. On ne s'ennuie pas une seule seconde, le rythme est très soutenu, les scènes d'anthologie sont nombreuses et on se surprend à rire très souvent et de bon cœur. L'arrivée du Marine dans la vie du couple divorcé, avec tout ce que cela contient, est un grand moment. En outre, l'imitation de Humphrey Bogart par Errol Flynn est inoubliable. Il a tout compris de sa gestuelle (sourire en lame de rasoir, dents de devant légèrement proéminentes, gestes de bad guy...) et de son apparat (habillé dans un imperméable, dans une entrée en scène tout droit sortie du "Grand sommeil" - sorti la même année -). A noter que Bogart lui-même double vocalement Flynn pour cette courte mais euphorisante séquence. Entre bons mots et répliques littéralement mitraillées sur l'auditoire, la Warner nous offre en prime la très séduisante Eleanor Parker, ici assez discrète (c'est encore le début de carrière), mais vraiment rayonnante. S. Z. Sakall interprète quant à lui un vieux restaurateur plein de bonne volonté mais totalement largué... Lui aussi est hilarant. Reste la petite fille du couple, mignonne, même si l'on décèle un peu le "texte récité". Un excellent moment, à voir et à revoir sans modération.
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Ne dites jamais adieu : Phil et Ellen Gayley viennent de divorcer ... l'amour de leur fille Flip va progressivement les ramener l'un vers l'autre ...
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Année de production | en 1946 | |
Dates de sortie | Etats-Unis : 08/10/1946 France : 03/11/1948 | |
Genre | Comédie sentimentale | |
Pays | Etats-Unis | |
Durée | 01 h 37 | |
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